Tunnels de captage

Dans les régions montagneuses, lorsqu'il n'y avait pas de source captable, on employait une solution de drains creusés à flanc de coteau.

Vers chez moi, il est fréquent de trouver des tunnels creusés sur une hauteur d'un mètre cinquante environ, et sur 10 à 20 mètres de longueur.

J'en ai vus, se séparant au bout du premier tronçon, en deux voire trois branches de 10 à 20 mètres encore.

Voici une photo prise récemment dans un tunnel alimentant une seule ferme.
On pense qu'il a dû être creusé entre 1850 et 1900.

J'ai pris la photo depuis le fond, en regardant vers la sortie.
L'eau suinte par les parois et s'écoule dans une rigole.
Quel boulot !

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J'ai voulu flouter la photo, mais je maîtrise mal l'outil ... désolé Monsieur !

Très intéressant, il en a fallu des coups de pioches.

C'est vrai qu'il en a fallu de coups de pioches, des seaux de gravats et ... de l'huile de coude pour récupérer un peu d'eau... Et quelle finition pour un travail "caché" !
Maintenant pour ce qui est du "floutage" de photos, le "Monsieur" se fera une raison : on ne peut pas être au top partout !
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Au marteau et au burin, payé au smic, calculez le prix au mètre linéaire....